Mes blessures béantes sont un millier et une,
Les rois titanesques m’assaillent,
Mais je ne peux pas m’arrêter tant que ma tâche n’est pas faite
Et que n’est accompli le vouloir éternel…
Une voix s’écria, « Va où nul n’est allé !
Creuse plus profond, encore plus profond
Jusqu’à ce que tu aies atteint l’affreuse pierre de fondation
Et frappé à la porte que n’ouvre aucune clé.»
J’ai abandonné les dieux de surface du mental
Et de la vie les océans insatisfaits,
Et plongé à travers les impasses du corps
Vers les mystères inférieurs.
Sri Aurobindo, Le labeur d’un dieu
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